Échevin à Saint-Gilles

Depuis 2000, j’assume la respon­s­abil­ité d’Échevin à Saint-Gilles. Pen­dant la lég­is­la­ture 2000 — 2006, j’ai été en charge de l’Échevinat de l’état civ­il et de la pop­u­la­tion, des affaires européennes et de l’informatique.

Après les élec­tions com­mu­nales du 8 octo­bre 2006, où j’ai obtenu 1.140 voix de préférence, soit le meilleur score après le Bourgmestre Charles Pic­qué, ce dernier m’a con­fié, out­re les Échev­inats préc­ités, les finances, les travaux publics, la mobil­ité, la pro­preté et les cultes.

Les élec­tions com­mu­nales du 14 octo­bre 2012 m’ont été favor­ables, car avec 1.237 voix de préférence, j’ai à nou­veau obtenu le meilleur score de Saint-Gilles après Charles Pic­qué, toutes listes con­fon­dues. J’ai par con­séquent pu garder en gros les mêmes com­pé­tences, c.-à-d. l’état civ­il et la pop­u­la­tion, la cul­ture, les cultes et philoso­phies non con­fes­sion­nelles, la mobil­ité et le sta­tion­nement, la pro­preté publique et les affaires européennes. Je me suis en out­re vu attribuer la respon­s­abil­ité de l’Atelier du Web, créé en 2006 afin de lut­ter con­tre la frac­ture numérique.

Depuis le mois d’octobre 2013, le Bourgmestre Charles Pic­qué a repris l’état civ­il et la pop­u­la­tion pour réalis­er un inven­taire des domi­cil­i­a­tions, ce qui requiert une action trans­ver­sale impli­quant notam­ment les ser­vices de la pop­u­la­tion, de l’urbanisme, du loge­ment et la police. Même si, du fait que le Bourgmestre assumait aus­si la prési­dence du Par­lement brux­el­lois, j’ai con­tin­ué à célébr­er un grand nom­bre de mariages, je me suis donc surtout con­cen­tré sur la cul­ture, la pro­preté et la mobil­ité.

En 2017, le Col­lège m’a chargé de l’Échevinat du Bien-être ani­mal, créé à mon ini­tia­tive.

Vous trou­verez ici un bilan suc­cinct pour cha­cun des échev­inats dont j’ai ain­si eu la charge. Il est dif­fi­cile de résumer en quelques lignes un tra­vail de jour en jour durant six années, mais je crois que le plus impor­tant est qu’en toute mod­estie, j’ai le sen­ti­ment que j’ai pu con­tribuer quelque peu à l’amélioration des con­di­tions de vie de mes conci­toyens.